samedi 21 mars 2015

Mexico D.F. 2015



CENTRO HISTORICO.
Zéro prise de risque. En mésoamérique, avec le centre historique, on n'est jamais déçu. L'adaptation est progressive tellement le programme est cadré. Zocalo, Templo Mayor, Palacio Nacional et tout ce qui va autour.

 


TULA - Statues Update.
Maintenant que les présentations sont faites, métro à destination du Terminal Norte. Cent cinq minutes du bus pour Tula la chimique qui fût Toltèque il y a un bon millier d'années.



ALAMEDA.
Retour central entre Plaza de la Revolucion et le Palacio de Bellas Artes. Diego Rivera, héros du jour et les Dandy Warhols en conclusion nocturne à la Sala.



NRMAL FESTIVAL - Dia 1.
Premier festival, et en plein air, de l'année. Format presque champêtre, line-up presque primaveresque. Un bon coup de Metz et quelques tentatives curieuses plus ou moins abouties.


TLATELOLCO & NRMAL FESTIVAL - Dia 2.
Avant d’enchaîner la seconde partie du festival, passage par la Plaza de las Culturas. Un étrange concept. Un peu comme si au milieu des immeubles du XIXe arrondissement de Paris, on avait posé une place des fêtes qui contiendrait un site Aztèque, une église du XVIIe siècle et un centre culturel universitaire. Contraste, plus encore, dans tes oreilles entre l'electro évanescente d'HTRK, la pop maniérée de Future Islands et le rock bruitiste de Swans.



GUADALUPE
Deux basiliques, des chapelles et des Temples, une statue de Jean-Paul 2, un (petit) Christ géant et une kyrielle de Vierge Marie disséminées dans le domaine des Dieux. Un parc à thème.



TEOTIHUACAN
L'incontournable Big Baby. Capturé assez tôt pour ne pas être pollué. La chaussée des morts, les pyramides du soleil et de la lune, la citadelle, le musée et les nombreuses places sous un soleil plutôt costaud.



CHAPULTEPEC & ESTADIO AZTECA
Grosse journée débutée dans le Bosque de Chapultepec par la viste du Castillo et du museo nacional d'antropologia. Une douzaine de salles consacrées aux cultures amérindiennes. Toute la famille est la. Toltèques, aztéques, olmèques, zapotéques, mayas ... Un slalom jusqu'à l'écoeurement. Un musée indispensable pour le contenant et pour le contenu. 
Plus tard, une place assise au stade Aztèque, pour le quart de finale retour de la ligue des champions version CONCACAF. Il n'y a aucun suspens et le niveau de jeu est passablement approximatif mais l'ambiance et l'endroit étaient les pilliers de la soirée.


CONCLUSION
Journée en roue libre empreinte d'une dose massive de nostalgie. Hasta luego Mexico.


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